Nous venons d’assister impuissants aux dégâts considérables causes par le
passage de l’ouragan Sandy sur notre pays.
Une nouvelle fois c’est en Haïti qu’un cyclone, sillonnant les caraïbes, fait le plus de victimes, 54 haïtiens ont été
tués par les pluies diluviennes qui ont accompagné le passage de Sandy durant
plus de trois jours et on conte jusqu'à’
date une vingtaine de disparus des milliers de maisons détruites ou
endommagées, des cultures dévastées, des
ponts et des routes balayes par les eaux, le réseau électrique hors
service, une crise alimentaire, voire
famine en vue et une résurgence du
choléra. Haïti n’en finit pas de panser et repenser ses plaies; plus de 70% des
récoltes ont été dévastées dans le sud
du pays les prochains mois s’annoncent plus que difficiles. Il faut des interventions rapides pour
assurer la sécurité alimentaire de la population a averti le directeur national
de la sécurité alimentaire.
Une irresponsabilité gouvernementale
inqualifiable face à cette nouvelle catastrophe. Le gouvernement a déclaré le 30 octobre écoulé l'état
d’urgence pour un mois et le lendemain lançait un nouvel appel à la solidarité
internationale pour venir en aide à la
population encore une fois larguer pour contre. La détérioration de la sécurité
alimentaire déjà précaire avant le passage de l’ouragan inquiète le bureaux des
nations unis pour les affaires humanitaires, une première estimation fait état
de pertes supérieures a 80 million d’euros dans l’agriculture qui s’ajoute aux
plus de 50 millions d’euros de perte du mois d'août dernier provoquées par
Isaac. Doit-on rappeler ici que le
gouvernement faisait déjà face à de multiples manifestations
anti-gouvernementales dont la principale
revendication était la cherté des produits alimentaires de base, doit-on aussi
souligner ou même rappelé qu’en 2008 la hausse
des prix des denrées de première
nécessité avait provoqué des émeutes et
par la suite et la chute du gouvernement dirige’ par Jack Edouard Alexis. Loin
de se formalisé ou même de s’inquiète le gouvernement Martely-Lamonte a commis
gaffe sur gaffe dans une stratégie propagandiste digne de l’époque soi-disant
révolue de Duvalier ou d’Aristide. Les nouveaux maracas dite …. ‘’martelamon’’
targuent de se montrer différent des gouvernements antérieurs… lors du passage de Sandy en Haïti le
président et son premier ministre sont
descendus dans les rues et se sont laissés photographier a profusion en train de
porter de l’eau et des kits alimentaire a la population sinistrée image propagandistes
les deux personnalités les plus important de l'état confondent leur rôle avec
celui des maires ou des ONG encore présent sur le terrain une tentative
populiste de récupération politique qui a lamentablement échoue et même choque
l’opinion de plus d’un sur les réseaux sociaux. D’autres pourraient dire par
contre que c’est le geste qui compte.
Mais pendant que les victimes de ses
catastrophes attendent du simple concitoyen ou des dirigeant un geste de
solidarité il faut que les bienfaiteurs évitent de tirer profit de la détresse
des populations sinistrées car quand chaque bouteille d’eau offerte par ces
gens frappes de ces malheurs, fait
l’objet d’une pauliste le geste n’a plus aucun sens car par leurs dons ils ne
cherchent qu’à s’enrichir en brandissant
la fameuse acclamation ‘’nap travay pou peyi ya ‘’ une formule emprunter auprès
des anciens dirigeants du pays et que l’on connait tous depuis les derniers 20
ans et toute cette situation nous écarte pas du classement qui nous place comme
le 3eme pays du monde ou la massière et la faim viennent installer leur
quartier général pour l’année 2013 a
venir.
Se mobiliser face au péril écologique. Les successives catastrophes
naturelles qui ne cessent de ravager Haïti ne sont que le commencement d’un long
cauchemar annonce bien longtemps par des
experts locaux et internationaux. A cet effet faut-il clarifier qu’on a déjà
passe à 1.5% de couverture végétal contrairement à notre cher voisin ”la République
Dominicaine” qui a pu passer de 10% (1980) a 30% (2012) de couverture végétale
Pour tout vous dire nous somme aux tréfonds du désastre écologique et sans trop incriminé ses deux marassa ‘’Martely et Lamonthe ‘’ la mort des
milliers de gens du au passage de Jeanne aux
Gonaïves en 2004 c’est d’abord et avant tout l’absence d’une volonté
politique et d’une réelle stratégie environnementale pendant les 100 ans
écoulés. En fait en 2008 lorsque notre pays a été successivement frappe par les
cyclones : Fe, Gustave, Ana, etc… en l’espace de deux semaine certains se sont
demandes : ‘’si le changement climatique était responsable de ces Séries noires
? Mais réfléchissons un peu, Haïti n’est
qu’une partie de l’ile dite Hispaniola
par certains et Saint Domingue ou Quisqueya par d’autres, de l’autre cote se
trouve notre chère république voisine qui me sert encore de toit en vue de
parfaire mes étude en génie agronomie mais par ici Ana et Gustave non fait
aucune victime sur leur passage de ce fait j’ose dire : ‘’ ce n’est pas le
changement climatique la cause mais plutôt la déforestation couronnée de
l’absence de toute gestion des sols.
Je vais pas rester seulement a critiqué les politicien car il y a bien des
journaliste a sensation qui ont que ça à
faire ou même donne rende vous chaque samedi
pour faire du bruit sur une station radio dans la capital sans vraiment
investiguer et écrire des articles sur les vrais causes de la souffrance de
cette nation dite en voie de progrès d’après un article apparu sur Yahoo la
semaine écoulé… mais une question est simple ‘’que fait -on ? Malheureusement
loin de moi l’idée d’apporter la
solution vu que ce sentiment du “trop tard” m’habite. Haïti se trouve est
“notre” pays pas seulement le mien ou de Martely encore moins de Lamothe. Vous
qui lisez ce texte “et ceci pour les textes on en a vu”, mais allez-vous rester
les bras croisés et assister aux dégâts? Même si la tache parais difficile pour
ne pas dire impossible le mieux à faire c’est de commencer sur ta personne,
chez toi, dans ta famille, avec tes amis, ton environnement tous les jours. Aussi minimes que soient les
actions posées Haïti est à nous, Sauvons là!
Ricardi ETIENNE